Borgo Vecchio

Borgo Vecchio
« Il les vit tellement seuls au monde, il les reconnut dans le caprice de Dieu et dans la violence sans remède de la nature, prisonniers du rêve sans mystère des enfants du Borgo Vecchio. »

Mimmo et Cristofaro sont amis à la vie à la mort. Ils grandissent dans un quartier misérable de Palerme, parmi les parfums de la mer, le marché aux balances truquées et les venelles tortueuses où la police n’ose pas s’aventurer. Le soir, tandis que Cristofaro pleure sous les coups paternels, Mimmo cherche à apercevoir Celeste, qui patiente sur le balcon quand sa mère reçoit des hommes. Tous les trois partagent le même rêve : avoir pour père Totò, voleur insaisissable et héros du Borgo Vecchio. Lui seul possède un pistolet, dont Mimmo voudrait bien se servir pour sauver Cristofaro d’une mort certaine…
Violence et beauté se mêlent au cœur de ce roman envoûtant, qui nous tient en haleine jusqu’au grand final.
Genre littéraire
Romans et récits
Pays
Époque
XXIe siècle
Acheter
Détails
160 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782072894190
Date de parution
Traduit (italien) par :
Lise Chapuis
Collection
Folio - no6879

Dans les médias

« D’une puissante incandescence, Borgo Vecchio est une histoire si prenante et une création si accomplie que l’on se sent impuissant à en restituer l’intensité. » Emmanuelle Giuliani, La Croix « La langue de Giosuè Calaciura est unique : très belle, dense, poétique, baroque, traversée de constantes inventions métaphoriques. » Jérôme Ferrari « Un roman qui dit tout à la fois le sublime et le grotesque, la pauvreté et la richesse, la douceur et la violence. » Florence Bouchy, Le Monde des Livres « Une intensité dramatique époustouflante. » Véronique Cassarin-Grand, L’Obs « Il y a le meilleur de Garcia Marquez dans la prose canaille et tendre de Giosuè Calaciura (remarquablement traduite). » Delphine Peras, L’Express « Borgo Vecchio est un enchantement. On est enveloppé par les phrases, les sensations, comme une brume qui a "la consistance des contes’’. » Frédéric Tué, Librairie l’Odyssée, Saint-Malo « Un roman que l’on ne peut lâcher avant la dernière page. » Manon, La Librairie polonaise, Paris

À la une