Il ne faut que quelques lignes pour aimer Borgo Vecchio, d'un amour féroce, terrible et dévastateur, un amour qui fait d'un point final un déchirement. Ce roman se lit comme on contemplerait la course journalière du soleil. On l'ouvre alors qu'il fait nuit mais les lueurs de l'aube - et de l'espoir - apparaissent. On apprend à plonger dans ces ruelles étroites et sales et à connaître ceux qui y vivent, difficilement, douloureusement. Les pages défilent et le soleil pointe le bout de son nez...