Numéro 11

Quelques contes sur la folie des temps
Number 11 or Tales that witness madness
Le numéro 11 renvoie, bien entendu, au domicile du ministre de l’Économie britannique. Enfin, c’est aussi celui du bus où vient se réchauffer une chanteuse oubliée, en ces temps de crise. Mais peut-être s’agit-il de l’adresse de cette maison où deux gamines découvrent un étrange cadavre. À moins qu’il ne désigne la table où, lors d’un dîner de gala, un détective va démasquer un tueur
d’humoristes. Ou encore le nombre d’étages souterrains qu’une richissime famille londonienne veut ajouter à sa demeure pour de mystérieuses raisons…
Dans ce nouveau roman – son onzième –, Jonathan Coe entrelace cinq récits délirants, où se croisent les destins de deux femmes, Rachel et Alison, des années 1990 à aujourd› hui, dans une Angleterre désormais gouvernée par les descendants des héros malveillants de Testament à l’anglaise, les Winshaw. Une satire mordante et virtuose.
Genre littéraire
Romans et récits
Époque
XXe-XXIe siècle
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Détails
496 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070469857
Date de parution
Traduit (anglais) par :
Josée Kamoun
Collection
Folio - no6486

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Dans les médias

 « Un nouveau coup de maître. Coe mélange ici, mieux que jamais la comédie et la mélancolie avec un regard aiguisé sur le monde moderne et ses dérives. » Alexandre Fillon, Lire « Pour prendre le pouls d’une Angleterre vampirisée par des élites rapaces, ce onzième roman déploie des trésors d’humour et d’inventivité. Cinglant. » Bruno Juffin, Les Inrocks « Un Jonathan Coe en pleine forme. L’humour est noir et acerbe. C’est un jeu de massacre où les puissants sont des cibles de choix. Livre de la colère, Numéro 11 est aussi un livre sur l’enfance et la nostalgie du temps perdu. » Bruno Corty, Le Figaro littéraire « Un roman formidablement rocambolesque et kaléidoscopique, où tout se tient, s’accorde, résonne, s’éclaire. » Nathalie Crom, Télérama « Un régal de satire, dans lequel Coe attaque même l’illusion que le rire peut changer le monde. » Marguerite Baux, Elle « L’un des meilleurs spécialistes de la folie du temps présent. » Didier Jacob, L’Obs