La fille de la Pluie

Hughes est perdu en pleine nuit. Au volant de sa voiture, ce clerc de notaire erre depuis des heures sur une route de campagne, sous la pluie, quand une femme surgit de nulle part. Il freine brusquement. Elle le fixe. Hughes ne le sait pas encore, mais sa vie ne sera plus jamais la même.
Alors que la fille disparaît dans l’obscurité, la voiture du clerc tombe en panne. Hugues est accueilli par une famille de fermiers. Profitant de ce séjour forcé pour régler une affaire de succession, il met le doigt dans un engrenage de convoitise, de jalousie et de rancune. Au cœur de cet écheveau, cette fille de la Pluie dont la vision nocturne ne cesse de le hanter. Petit à petit, son confort
petit-bourgeois et ses préjugés de classe vacillent face au retour inexorable du refoulé. Jusqu’à en perdre ses repères. Et la raison.
Genre littéraire
Romans et récits
Genres Policier  > 
Époque
XXIe siècle
Détails
320 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782072782596
Date de parution
Collection

Coups de cœur libraires/lecteurs

Lelitoulalu Lecteur

Ce roman policier a des airs de « Canicule », le chef d'œuvre de Jean Vautrin. Le soleil en moins. La campagne décrite par Pierric Guittaut est en permanence noyée sous des trombes d'eau. Forêt humide, prairies marécageuses et chemins boueux forment le décor de cette intrigue verdoyante. Ce n'est pas un truand en cavale qui va perturber la vie des autochtones mais un clerc de notaire.
Hugues doit se rendre dans une ferme pour délivrer un acte officiel. Manque de chance, il tombe dans des...

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Dans les médias

«En sortant ses personnages de la caricature, Pierric Guittaut dresse des portraits subtils d'êtres meurtris.» Thierry Fiorile, France Info
«Pour ses débuts dans la Série noire, l'auteur de Beyrouth-sur-Loire propose une plongée saisissante dans les terres.» Alexandre Fillon, Livres Hebdo
«Un pur polar de campagne, bien collant, bien glauque, bien oppressant, un polar de vieille haine recuite, de violence contenue et de pulsions sexuelles débordantes. ça sonne vrai et ça cogne ma foi assez fort !» Bernard Poirette, RTL