Sympathy for the Devil

Sympathy for the Devil
«Hanson ignorait encore qu’il venait de décider de faire ce que l’armée attend précisément de certains de ses hommes, des meilleurs des siens – tenter de la battre à son propre jeu. Guerre était le nom de ce jeu et, lorsqu’on frôle la guerre de trop près, qu’on la regarde au fond des yeux, elle peut vous entraîner tout entier, muscles, cervelle et sang, jusqu’au plus profond de son cœur, et jamais plus vous ne trouverez la joie en dehors d’elle. Hors d’elle, amour, travail et amitié ne sont plus que déboires.»

De son expérience dans les bérets verts au Vietnam, Kent Anderson a tiré l’un des plus puissants romans écrits sur la guerre.
Genre littéraire
Romans et récits
Genres Policier  > 
Époque
XXe-XXIe siècle
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Détails
592 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070447909
Date de parution
Préface :
James Crumley
Traduit (anglais) par :
Frank Reichert
Collection

Coups de cœur libraires/lecteurs

Librairie Hall du Livre Libraire

L'un des plus grands monuments littéraires que la guerre du Vietnam a engendrés. face à l'enfer et la violence, une seule solution : devenir enfer et violence... Mordant, fiévreux, enragé et anticonformiste, une vision unique qui vous hantera longtemps !

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Dans les médias

• « Le livre de Kent Anderson nous saute au visage avec cette pure et glorieuse cruauté dont ne sont capables que de très rares espèces animales. Dont l’homme. Ce premier roman, journal intime et testament électrique d’une génération, ne pouvait être écrit que par Kent Anderson, ex-sergent au Vietnam et ex-policier, qui couche ses souvenirs dans un style brut, dégagé de toute notion d’élémentaire bon sens. » Les Inrockuptibles, mai 1993.• « Personne, à ce jour, n’avait eu un regard aussi lucide sur l’état de dislocation panique exacte du soldat-tueur qui croit rentrer chez lui. Sympathy for the Devil, c’est Le Feu de Barbusse cinquante ans plus tard, prémices, politiques et conséquences en plus. » À Suivre, février 1993.