Ce que je retiens de ce premier roman, c’est la violence de l’attirance, la beauté de l’amour qui éclot, les grandes étendues de Galice, le corps magnifique de Suiza et l’étonnement de Tomás, qui ne pensait pas avoir droit à ce bonheur. Un récit cru et magnifique, tout en ombres et lumières.
Camille