Un jour, le crime
Au commencement était l’acte. Cet acte était la mise à mort du père selon Freud, du frère selon la Bible.
Ce commencement est sans fin.
Nous aurons beau nous écrier : « Plus jamais ça ! », les faits ne cesseront de nous démentir, de montrer la vanité de nos cris. Les faits sont têtus, disait cet entêté de Lénine.
La violence est souveraine. Partout, dehors, visible, étalée au grand jour. Partout, dedans, cachée, tapie dans l’ombre d’où elle est prête à surgir.
La passion meurtrière, qu’elle soit collective ou individuelle, la rage de détruire, l’amour de la haine ne connaissent pas de limites. Face à la démesure, nos instruments de mesure sont défaillants.
Ce commencement est sans fin.
Nous aurons beau nous écrier : « Plus jamais ça ! », les faits ne cesseront de nous démentir, de montrer la vanité de nos cris. Les faits sont têtus, disait cet entêté de Lénine.
La violence est souveraine. Partout, dehors, visible, étalée au grand jour. Partout, dedans, cachée, tapie dans l’ombre d’où elle est prête à surgir.
La passion meurtrière, qu’elle soit collective ou individuelle, la rage de détruire, l’amour de la haine ne connaissent pas de limites. Face à la démesure, nos instruments de mesure sont défaillants.
Genre littéraire
Essais
Thèmes
Époque
XXe siècle
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Détails
176 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070447961
Date de parution
Collection