Les noirs et les rouges

La legge dell'odio
Stefano Guerra, étudiant d’extrême droite, naît à la politique en 1968. Alors qu’il participe aux affrontements à Rome, il commet l’irréparable : il tue par accident un jeune homme qu’il voulait seulement menacer. Ce crime marque le début d’une longue dérive, du militantisme à la clandestinité, de la politique à la violence, dans un monde où hommes d’État, criminels et agents des services secrets se mêlent. Au bout du compte, qui est Stefano Guerra? Un tueur psychopathe, un terroriste? Un Pinocchio moderne, un exalté? Ou un dangereux idéaliste, engagé dans une cavale qui pourrait bien se révéler sans issue?
Genre littéraire
Romans et récits
Genres Policier  > 
Pays
Époque
XXIe siècle
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Détails
928 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782072702211
Date de parution
Traduit (italien) par :
Vincent Raynaud
Collection

Coups de cœur libraires/lecteurs

Librairie Passages Libraire

Étudiant d’extrême droite, Stefano Guerra plonge dans la clandestinité et la violence. À travers sa descente aux enfers se dessine l’Italie des années 60-70. Dérangeant, fascinant, splendide !

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Dans les médias

• « Comme dans un véritable roman d'espionnage, Alberto Garlini place son lecteur dans un labyrinthe de manipulations, de mensonges, de chantages et de faux-semblants. » Fabio Gambaro, Le Monde des livres. • « La plus implacable machinerie romanesque et politique, sur les liaisons dangereuses de l'idéologie et du pouvoir. Garlini réussit le prodige de tenir la distance tout au long de cette ample saga, sans rien sacrifier au style. L'émotion ici est une arme de combat.» Olivier Mony, Livres Hebdo. • « Une introspection épique dans le subconscient d'un néofasciste italien des années de plomb. Horrifiant, poétique et révélateur. » Antoine Perraud, La Croix. • « Les Noirs et les Rouges laisse pantois d'admiration par son ambition narrative, sa maîtrise stylistique, son rythme ahurissant et son issue aussi incroyable qu'imprévisible.» Jean-Christophe Buisson, Le Figaro magazine. • « Horrifiant, poétique et révélateur.» Antoine Perraud, La Croix. • « Garlini ne craint rien ; son roman est une symphonie ambitieuse, passionnante, tonitruante, où s'entrecroisent histoires individuelles et fresque politique.» Le Figaro littéraire.

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