« On lit Bobin le stylo à la main, recopiant ici, soulignant là. On le lit lentement. On s’arrête à la fin d’un paragraphe, reposant le livre pour aller marcher un peu, sentir la vie jusque dans le gris bitume et la fumée du quotidien.» François Busnel, L'Express « Comme la glycine encore, Christian Bobin refleurit chaque année, avec un livre aussi bref que dense, aussi inclassable qu’indispensable.» Jean-Claude Perrier, Livres Hebdo