Une mise au point pour commencer, puisque l'auteur de ces lignes est Normand de souche (terrienne, au fond du bocage derrière le pommier à droite), et que je ne saurais discuter à Jean Amila le juste point de vue qu'il porte sur les penchants alcoolisés de mes compatriotes, un statut qui n'est pas exclusif à ces contrées puisqu'il est avéré que, de Mulhouse à Biarritz et de Dunkerque à Toulon, le Français s'arsouille, et s'arsouille parfois de manière congénitale. Il est vrai que le Normand, à l...