Une année studieuse

«Un jour de juin 1966, j’écrivis une courte lettre à Jean-Luc Godard adressée aux Cahiers du Cinéma, 5 rue Clément-Marot, Paris 8^e. Je lui disais avoir beaucoup aimé son dernier film, Masculin Féminin. Je lui disais encore que j’aimais l’homme qui était derrière, que je l’aimais, lui. J’avais agi sans réaliser la portée de certains mots.»

Genre littéraire

Romans et récits

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Romans et récits

Époque

XX^e-XXI^e siècle

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Prix littéraires

Prix Saint-Simon (2012)
Prix Duménil (2012)

Détails

288 pages - 108 x 178 mm

EAN

9782070453870

Date de parution

08/11/2013

Collection

Folio - n^o5680

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Dans les médias

C'est la chronique d'une première année d'amour. L'ensemble est frais, portant à une lecture cursive, d'une grande précision. Le Point . Anne Wiazemsky a trouvé la bonne distance entre la pudeur et l'aveu, et c'est ce qui fait tout le prix de ce livre d'absolue sincérité à peine effleuré par un soupçon de nostalgie. Muriel Steinmetz. L'Humanité . Un roman délicat et enchanteur, pas si studieux que ça... Olivia De Lamberterie. Elle . Dans ce récit lumineux, la petite musique d'Anne Wiazemsky joue avec légèreté la partition des sentiments d'une jeune fille amoureuse. Elle en restitue avec justesse toute la fraîcheur. Un pur délice. I. B. Avantages . Passionnant roman. B.B. Marie France . Anne Wiazemsky, de sa belle plume sobre et classique, décrit l'emballement et la fusion mais aussi l'irrationalité et les contradictions du premier grand amour. Virginie François. Marianne . Son style sobre et son émotion retenue laissent la part belle au récit de sa vie qui se lit comme un formidable roman. A. S. Version Femina . Un récit délicieux. Thierry Gandillot. Les Echos . Une année studieuse est un récit allègre. Son élégante légèreté ne fait pas oublier qu'il parle du temps compté. Marie-Laure Delorme. Le Journal Du Dimanche .