La vérité sur la comtesse Berdaiev

Pourquoi le destin s’acharne-t-il sur la comtesse Berdaiev? Aristocrate très belle et très libre, elle appartient à la communauté des Russes blancs, ces exilés qui ont fui l’Union soviétique après la révolution de 1917. Déjà victime de l’Histoire qui l’a condamnée à la ruine, la
comtesse va se trouver impliquée dans une affaire de mœurs éclaboussant le milieu politique dans les débuts ténébreux de la V&esup République.
Librement inspiré du scandale des Ballets roses, ce roman renoue avec les thèmes chers à Jean-Marie Rouart : la
passion amoureuse confrontée avec la brutalité du pouvoir, face à une société qui se veut toujours moralisatrice.

Genre littéraire

Romans et récits

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Époque

XX^e-XXI^e siècle

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Prix littéraires

Prix Récamier du roman (2018)
Prix Cabourg du roman (2018)

Détails

240 pages - 108 x 178 mm

EAN

9782072832727

Date de parution

19/09/2019

Collection

Folio - n^o6691

Coups de cœur libraires/lecteurs

Catherine Libraire

Librairie Montbarbon

Le roman d'une Comtesse russe, "émigrée" à Paris. L'amour, la politique, les nuits endiablées et la grande Histoire. Un roman historique captivant.

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Dans les médias

« Ce qui est amusant et jouissif, c'est l'opposition entre l'élégance du style classique de l'académicien et la canaillerie de ses personnages. » Bernard Pivot, Le JDD« Un jeu du feu et de la glace, servi par l'écriture inspirée du grand romancier de l’amour et des intrigues du pouvoir, dont on ne ressort pas indemne. » Coup de cœur de Dominique Bona, Version femina« Sous l’histoire française, un roman russe, profond, intriguant : à travers la comtesse, c’est la société émigrée de Moscou et réfugiée à Paris qui entre en scène. » Etienne de Montety, Le Figaro littéraire« À travers le destin d'une héroïne russe, Rouart nous convie au bal endiablé des plaisirs et de la politique. Un bonheur. » Marie-Françoise Leclère, Le Point« La grande Histoire se glisse par de toutes petites portes que Jean-Marie Rouart adore pousser, puis claquer au nez de ses personnages. » Gilles Martin-Chauffier, Paris Match