La Petite mort
Un divertimento utopique
«Mieux vaut le faire savoir d’emblée : tout a sans cesse tourné autour de l’argent.
La première chose importante qu’il m’ait dite fut : «Tu travailles trop dur.»
Bien entendu, le sexe entrait aussi en ligne de compte.
Et, comme je suis peintre et que cela commandait à la fois ma vie et mon activité, force est de reconnaître que l’art était lui aussi en jeu.
Commençons donc par là. J’étais un peintre qui jouissait d’une petite notoriété. Guère plus. Aujourd’hui, je suis un peintre qui jouit d’une grande notoriété. Et, à n’en pas douter, son rôle a été déterminant à cet égard…»
Tout en exprimant ses convictions féministes, Mary Gordon porte un regard aigu et original sur l’art, l’argent et l’amour.
Un roman subtilement provocateur.
La première chose importante qu’il m’ait dite fut : «Tu travailles trop dur.»
Bien entendu, le sexe entrait aussi en ligne de compte.
Et, comme je suis peintre et que cela commandait à la fois ma vie et mon activité, force est de reconnaître que l’art était lui aussi en jeu.
Commençons donc par là. J’étais un peintre qui jouissait d’une petite notoriété. Guère plus. Aujourd’hui, je suis un peintre qui jouit d’une grande notoriété. Et, à n’en pas douter, son rôle a été déterminant à cet égard…»
Tout en exprimant ses convictions féministes, Mary Gordon porte un regard aigu et original sur l’art, l’argent et l’amour.
Un roman subtilement provocateur.
Genre littéraire
Romans et récits
Pays
Époque
XXe-XXIe siècle
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Détails
480 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070424306
Date de parution
Traduit (anglais) par :
Mirèse Akar
Collection