L'origine des langues
Sur les traces de la langue mère
The Origin of Language
Avec un Post-scriptum inédit de l'auteur
Voici le livre, longtemps demeuré introuvable en France, par qui le scandale est advenu.
S’ils s’accordent sur l’existence de plusieurs grandes familles de langues à travers le monde, les linguistes disputent d’une quelconque parenté entre ces dernières. Ainsi, les langues d’Europe, membres de la famille indo-européenne, n’auraient aucun lien avec les autres.
Merritt Ruhlen démontre le contraire : les langues actuellement parlées sur terre descendent toutes d’une seule «langue mère», qu’il reconstitue. Son hypothèse, parfaitement compatible avec les arguments fournis par l’archéologie et la génétique des populations en faveur de l’origine unique et africaine de l’homme, pose que l’expansion des langues a suivi l’évolution d’Homo sapiens à travers les âges et la planète.
Depuis sa parution, cet ouvrage est au centre des débats entre linguistes, généticiens, archéologues : la similitude de certains mots, tel «mère», dans toutes les langues s’explique-t-elle par des dispositions cognitives communes à l’espèce ou bien par l’existence d’une langue première? Dans un long épilogue à l’édition française, Ruhlen répond à ses critiques et conforte sa démonstration.
S’ils s’accordent sur l’existence de plusieurs grandes familles de langues à travers le monde, les linguistes disputent d’une quelconque parenté entre ces dernières. Ainsi, les langues d’Europe, membres de la famille indo-européenne, n’auraient aucun lien avec les autres.
Merritt Ruhlen démontre le contraire : les langues actuellement parlées sur terre descendent toutes d’une seule «langue mère», qu’il reconstitue. Son hypothèse, parfaitement compatible avec les arguments fournis par l’archéologie et la génétique des populations en faveur de l’origine unique et africaine de l’homme, pose que l’expansion des langues a suivi l’évolution d’Homo sapiens à travers les âges et la planète.
Depuis sa parution, cet ouvrage est au centre des débats entre linguistes, généticiens, archéologues : la similitude de certains mots, tel «mère», dans toutes les langues s’explique-t-elle par des dispositions cognitives communes à l’espèce ou bien par l’existence d’une langue première? Dans un long épilogue à l’édition française, Ruhlen répond à ses critiques et conforte sa démonstration.
Genre littéraire
Études et monographies
Thèmes
Pays
Époque
XXe-XXIe siècle
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Détails
432 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070341030
Date de parution
Traduit (anglais) par :
Pierre Bancel
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