Kallocaïne

Dans une société où la surveillance de tous, sous l’œil vigilant de la police, est l’affaire de chacun, le chimiste Leo Kall met au point un sérum de vérité qui offre à l’État Mondial l’outil de contrôle total qui lui manquait. En privant l’individu de son dernier jardin secret, la kallocaïne permet de débusquer les rêves de liberté que continuent d’entretenir de rares citoyens.
Elle permettra également à son inventeur de surmonter, au prix d’un viol psychique, une crise personnelle qui lui fera remettre en cause nombre de ses certitudes. Et si le rêve des derniers résistants, une mystérieuse cité fondée sur la confiance, n’en était pas un ?
Kallocaïne est le chaînon manquant entre Fahrenheit 451, Le meilleur des mondes et 1984. Dès 1940, la dystopie visionnaire de Karin Boye interroge les limites, s’il y en a, du contrôle que peut exercer un État totalitaire sur ses citoyens.
Genre littéraire
Romans et récits
Époque
XXe siècle
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Détails
288 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782073034526
Date de parution
Traduit (suédois) par :
Leo Dhayer
Collection
Folio SF - no752

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Un incontournable.
Ecrit en 1940 soit avant '1984', et du même niveau que 'Le Meilleur des Mondes' et 'Fahrenheit 451' la Kallocaïne est une drogue, inventée par notre héros, qui va permettre à l'Etat de connaitre les pensées profondes et intimes des individus. Terrifiant !