
Dans Berezina, tout est vacarme, rugissement des machines, soirées vodka et mains dans le cambouis. Cette fois, Sylvain Tesson n'est plus seul. D'un côté, il nous décrit son voyage, pannes de side-car comprises, et se laisse aller à de belles digressions sur l'épreuve que la retraite de Russie a dû représenter pour les soldats français, et ce qui les a poussés à suivre leur chef, même dans la défaite. De l'autre, il nous rapporte ses conversations enflammées, parfois houleuses et imbibées, avec...