Les dames de Kimoto

Kinokawa
Avec la collaboration d'Anne-Marie Soulac
«Le mont Kudo était encore voilé par les brumes matinales de ce début de printemps. La main serrée dans celle de sa grand-mère, Hana franchissait les dernières marches de pierre menant au temple Jison. L’étreinte de la main autour de la sienne lui rappelait que, maintenant qu’elle allait être admise comme bru dans une nouvelle famille, elle cesserait d’appartenir à celle où elle avait vécu les vingt années de son existence.»

À travers le récit des amours, des passions et des drames vécus par trois femmes de générations différentes, Les dames de Kimoto dresse un tableau subtil et saisissant de la condition féminine au Japon depuis la fin du XIXe siècle.
Genre littéraire
Romans et récits
Pays
Époque
XXe siècle
Acheter
Détails
320 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782072793752
Date de parution
Traduit (japonais) par :
Yoko Sim
Collection
Folio - no6552

Coups de cœur libraires/lecteurs

Librairie De Paris Libraire

Une MERVEILLE.

Le Failler Libraire

L’évolution du Japon entre la fin du XIXème siècle et les années 1960, à travers le portrait de plusieurs générations de femmes.
La petite histoire dans la grande Histoire, le poids de la tradition et transmission entre mère et fille mais aussi entre grand-mère et petite-fille.
Une belle écriture tout en délicatesse.
Laura

Dans les médias

« Avec la recherche du bon équilibre entre respect des traditions et volonté de modernité, et le choc entre trois générations de femmes, on comprend pourquoi Sawako Ariyoshi était considérée comme la Simone de Beauvoir du Japon. » Nicolas Carreau, Europe 1 « Une belle chronique familiale, qui nous en apprend beaucoup sur les mécanismes ancestraux de la société japonaise, et nous permet aussi d’en suivre l’histoire. » Lysiane Ganousse, L’Est républicain « Un excellent moment de lecture grâce à cette auteure qui décrit avec finesse et défend avec conviction la condition de la femme dans la famille et dans la société. » La Librairie du Canal « L’auteure prétexte la fresque romanesque pour s’interroger sur la place de ses semblables dans la société. Fidèle à son surnom de "Beauvoir du Japon" et à son admiration pour cette figure féministe. » Pleine Vie

À la une