Le syndrome de Garcin

«Ainsi ai-je grandi avec l’illusion, incarnée par mes deux grands-pères, que la médecine était un art, une recherche, une philosophie. Elle traitait, dans de lointaines et mystérieuses institutions, des cas d’exception et des syndromes si rares qu’on leur avait donné, ainsi qu’on
baptise une nouvelle planète, les noms de mes aïeux.»

Issu de longues dynasties médicales, Jérôme Garcin tente de comprendre pourquoi cette chaîne s’est brutalement interrompue après ses grands-pères, Raymond Garcin et Clément Launay, deux éminents médecins et humanistes qui ont marqué son enfance.
Genre littéraire
Mémoires et autobiographies
Époque
XXe-XXIe siècle
Acheter
Prix littéraires
  • Prix Humanisme et Médecine (2018)
Détails
160 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782072829123
Date de parution
Collection
Folio - no6706

Feuilleter

Dans les médias

« Un livre éblouissant. Jérôme Garcin, à l’égal d’un Jean Rolin ou d’un Sylvain Tesson, est l’un des plus grands stylistes de la langue française. » Olivia de Lamberterie, Télématin « Remarquable. » François Busnel, La grande librairie « Un très beau livre, plein d'émotion et de finesse. » Marc Dugain, Les Echos « Jérôme Garcin a hérité de cette conviction que, par les mots sinon par les gélules, on peut se soigner de la plus grande douleur, celle de la perte des siens. » Didier Jacob, L’Obs « Au terme de ce voyage intérieur, Jérôme Garcin finit par cerner la quintessence de sa famille dans ce livre émouvant. Avec l'âge, son style gagne en maturité, en profondeur. » Jean-Claude Raspiengeas, La Croix « Un récit frémissant d’amour et de reconnaissance. » Bernard Pivot, Le JDD « Souffrance et compassion traversent ce récit submergé d'émotion. » Christine Ferniot, Lire « Jérôme Garcin va à rebours, fouille aussi loin qu'il peut dans les archives et revient à son enfance et à ses souvenirs. » Xavier Husson, Le Monde des livres « Jérôme Garcin se lance à l'assaut d'un arbre généalogique étonnant puisqu'il ne comporte que des médecins, et ce depuis l'époque de Napoléon I er . » Sylvie Tanette, Les Inrockuptibles