La joie

«Je lui dis que j’ai cette vie-là à aimer et que c’est bien assez. Je lui dis que je ne veux pas de son espoir parce que l’espoir est un poison : un poison qui nous enlève la force d’aimer ce qui est là.»

Solaro traverse les épreuves de l’existence avec une force que les autres n’ont pas : il sait voir dans son quotidien la beauté de toute chose, et par là même réussit à en éprouver une certaine joie. Ce livre est son histoire, le roman d’un homme joyeux. C’est aussi une invitation à la réflexion, à comprendre cette force mystérieuse qui, à tout instant, peut rendre notre vie exaltante.
Genre littéraire
Romans et récits
Époque
XXIe siècle
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Détails
192 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070467495
Date de parution
Collection
Folio - no6122

Coups de cœur libraires/lecteurs

Frédérique Libraire

Solaro traverse des situations difficiles et pourtant il conserve sa joie de vivre, sa foi en la vie. Mais aux yeux de tous, cet enthousiasme ne cache-t-il pas quelque chose ? Car quand votre mère est mourante, on attend de vous un minimum d'abattement, de tristesse... Quand on est en prison accusé de meurtre, quoi de plus louche que de se sentir bien et de vivre chaque instant intensément... Il est forcément suspect puisqu'il est épanoui mais n 'a aucune raison de se réjouir de sa situation...

Dans les médias

«Un roman vertigineux, qui retourne comme un gant notre manière de voir le monde ». Elle. Patrick Williams. « Charles Pépin déploie toute ses cartes pour réenchanter le monde. On sourit, on rit et on savoure ». L'Express. Marianne Payot. « Enfin un livre qui nous parle d'une jubilation ordinaire, à la portée de tous qui plus est ! ». Prima. Danièle Laufer. « Le nouveau roman de Charles Pépin est un Candide des Temps Modernes, Un Étranger de Camus avec le goût du bonheur en plus ». My Little Book Club. « Charles Pépin signe un bijou qui se lit en un souffle et aide à respirer. La joie , disons-le d'emblée est un de ces livres rares que l'on dévore d'un coup d'un seul et qui vous accompagne ensuite par ses saveurs nouvelles ». Salon Littéraire. Christophe Mory. « Il y a du Camus et du Voltaire dans ce roman limpide qui nous pousse à changer notre regard sur le monde ». Avantages.