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« Quand Daniel Cordier débarqua chez Gallimard avec ce qui allait devenir bien plus tard, en 2009, ses Mémoires, Alias Caracalla, il y en avait, à peu près, 2 500 pages. "Et encore, se souvient son éditeur, l’historien Pierre Nora, il arrivait à peine à 1940. Le texte était composé d’un monceau de documents et d’archives." Comment Daniel Cordier, secrétaire de Jean Moulin, a-t-il mené ce travail d’historien sans équivalent ? Enquête dans les coulisses d’une œuvre iconoclaste. » François-Guillaume Lorrain, Le Point, 25 novembre 2020