Les harmoniques

(Beau Danube Blues)
Nouvelle édition en 2016
Vera est morte assassinée. Brûlée vive.
Mister, le pianiste, l’aimait, comme elle aimait sa musique. Il veut comprendre : qui l’a tuée? Pourquoi? Avec son ami Bob, chauffeur de taxi philosophe et polyglotte, il cherche, tâtonne, interroge et remonte peu à peu le fil de la jeune vie de Vera, jusqu’aux rives lointaines du Danube, jusqu’aux charniers des Balkans… Rythmée par les grands standards du jazz, l’enquête des deux hommes fera ressurgir les notes cachées de ces crimes dont personne ne veut parler.
Plus qu’un roman, c’est une ballade qui se joue ici. Un long blues nostalgique et envoûtant en même temps qu’un poignant chant d’amour et de rage.
Genre littéraire
Romans et récits
Genres Policier  > 
Époque
XXIe siècle
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Prix littéraires
  • Prix Mystère de la Critique (2012)
Détails
416 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070785131
Date de parution
Collection

Coups de cœur libraires/lecteurs

Jean-Marc Libraire

La note bleue de Marcus Malte
Attention chef-d'œuvre. Ni plus, ni moins. Tout est sonne juste dans Les harmoniques de Marcus Malte. De la première à dernière réplique. Jusqu'au titre.
Vera est morte, assassinée, brulée vive. Elle qui avait survécu au massacre de Vukovar, qui était venu chercher la paix et la sécurité à Paris. Très rapidement la police a arrêté deux petits dealers qui ont avoué. Affaire de drogue, la victime était une immigrée … affaire close. Pas pour Mister, grand gaillard noir...

Frédéric Libraire

Marcus Malte, l'auteur de Garden of Love, un polar étrange primé à de multiples reprises, nous revient en ce début d'année avec un roman noir sombre et sulfureux.
On y fait la connaissance de deux personnages charismatiques : un grand noir appelé Mister, pianiste de jazz réputé mais peu loquace, et son ami Bob, chauffeur de taxi polyglotte, qui erre sans but au volant de sa vieille 404. Les deux compères qui viennent de perdre l'une de leurs amies, une certaine Vera Nad (retrouvée brûlée vive)...

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Dans les médias

« Ouvrir un roman de Marcus Malte, c’est partir en balade et ce mot n’est pas choisi au hasard. Balade sur les routes, ballade musicale, ce sont les deux thèmes favoris de cet auteur de romans noirs qui, sans en avoir l’air, bâtit au fil des ans une œuvre qui commence à compter. Sans en avoir l’air car Malte a ce don rare de s’effacer derrière ses livres, aussi insaisissable que la délicate musique de ses phrases. C’est là d’ailleurs l’étrangeté et le charme de cet auteur : il écrit du noir avec poésie ou de la poésie en noir. »Alexandra Schwartzbrod, Libération

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