L'évangile du billet vert

Salvation Boulevard
Certaines affaires usent les nerfs d’un privé, d’autres peuvent ébranler ses convictions les plus profondes. Carl Vanderveer, ex-flic à la dérive, repenti en chrétien radical, va l’apprendre à ses dépens.
Nathaniel MacLeod, professeur de philosophie, athée et prosélyte, a été assassiné. Un de ses étudiants, Ahmad Nazami, musulman d’origine iranienne, a avoué. La police pense tenir son coupable, mais c’est sans compter sur Manny Goldfarb, avocat juif et tenace, fermement convaincu de l’innocence de son client et déterminé à la prouver.
Pressé par sa femme et les leaders de la communauté évangélique à qui il doit son salut, Carl ne sait plus à quel saint se vouer. Homme de parole, le privé ne peut se résoudre à baisser les bras. Au risque de tout perdre, y compris sa foi.
Une immersion aussi inquiétante que réaliste au cœur de l’Amérique post-11-Septembre.
Genre littéraire
Romans et récits
Genres Policier  > 
Époque
XXe-XXIe siècle
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Détails
432 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070446308
Date de parution
Traduit (anglais) par :
Samuel Todd
Collection

Coups de cœur libraires/lecteurs

Jean-Marc Libraire

L'évangile selon Larry Beinhart
Comme je le dis ci-dessous, tout le monde va être servi. Avec L'évangile du billet vert de Larry Beinhart ce sont les évangélistes qui sont dans la ligne de mire. Et c'est bon !
Carl Venderveer est privé dans une ville moyenne du Sud-Ouest des US. Carl est aussi un « reborn », ancien flic alcoolo et drogué sauvé par Jésus, et l'église évangéliste (et télévangéliste) du très médiatique pasteur Paul Plowright. Pour lui, la vie n'est plus qu'une succession de...

Dans les médias

« L’évangile du billet vert décrit une Amérique post-11 Septembre bourrée de préjugés. Une population aveugle accrochée à ses leaders religieux qui s’enrichissent, sans états d’âme, sur le dos de leurs paroissiens. Larry Beinhart garde un humour qui lui permet d’éviter la gravité, et réussit à tenir son lecteur jusqu’à la dernière page, qui fait froid dans le dos. » Christine Ferniot, Lire