Un éclat de givre

Un siècle après la Fin du Monde. Paris est devenue une ville-monstre, surpeuplée, foisonnante, étouffante, étrange et fantasmagorique. Une ville-labyrinthe où de nouvelles Cours des Miracles côtoient les immeubles de l’Ancien Monde. Une ville-sortilège où des sirènes nagent dans la piscine Molitor et où les jardins dénaturés dévorent parfois le promeneur imprudent. Là vit Chet, vingt-trois ans. Chet chante du jazz dans les caves, enquille les histoires d’amour foireuses, et les jobs plus ou moins légaux, pour boucler des fins de mois difficiles.
Aussi, quand un beau gosse aux yeux fauves lui propose une mission bien payée, il accepte sans trop de difficultés. Sans se douter que cette quête va l’entraîner plus loin qu’il n’est jamais allé et lier son sort à celui de la ville, bien plus qu’il ne l’aurait cru.

Un éclat de givre est un roman à la fois tendre et âpre, lumineux et enlevé, drôle et sensuel. Il mêle avec brio la science-fiction postapocalyptique, le jazz et le roman noir.
Genre littéraire
Romans et récits
Époque
XXIe siècle
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Détails
352 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070469864
Date de parution
Collection
Folio SF - no585

Coups de cœur libraires/lecteurs

Je ne regrette aucunement de m’être plongée dans Un éclat de givre. Entre style poétique et ambiance musicale, ce one shot fait travailler nos sens cognitifs et cela fonctionne. L’univers est énormément bien décrit, les personnages sont profonds et travaillés. C'est un très bon roman, une bonne lecture placée sous l’égide d’une atmosphère jazzy (l’écoute d’une musique de jazz au cours de la lecture est fortement recommandée pour une immersion totale).

Dans les médias

« On ne sort pas tout à fait indemne d’Un éclat de givre. Parce que c’est un post-apo lumineux. Parce que c’est un roman trépidant, qui nous laisse rarement le temps de souffler. Parce que c’est tantôt beau et poétique, tantôt très humain, tantôt terrifiant. Parce que c’est terriblement dense et immersif. Parce que cela nous questionne autant sur notre vie présente que sur notre éventuel avenir. » – Yozone