Seule la mer

Oto ha-yam
Albert Danon est seul. Sa femme Nadia vient de mourir d’un cancer, et son fils Rico est parti au Tibet. Bettine, une vieille amie, veuve elle aussi, s’inquiète pour Albert. Surtout lorsque Dita, la petite amie de Rico, emménage chez lui. Un certain Doubi Dombrov veut produire le scénario de Dita, mais il veut surtout Dita. Qui couche avec Guigui, en pensant à Albert, ou à Rico. Qui pense à sa mère, et ne veut pas rentrer du Tibet.
Un chassé-croisé de voix et d’histoires que le narrateur, affranchi de toute contrainte formelle, tisse, tout en nous parlant de lui, en un poème bouleversant qui se lit comme un roman - ou est-ce un roman qui se lit comme un poème ? - pour serrer au plus près la quintessence de nos vies, le désir, la nostalgie d’un bonheur perdu, la mort qui nous cueille.
Seule la mer fut acclamé lors de sa publication en Israël, mais aussi en Italie, en Angleterre et aux États-Unis comme une œuvre maîtresse, un livre inclassable d’une beauté sauvage, en un mot, comme un livre inoubliable.
Genre littéraire
Romans et récits
Pays
Époque
XXe-XXIe siècle
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Prix littéraires
  • Prix Wizo (2003)
Détails
272 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070306039
Date de parution
Traduit (hébreu) par :
Sylvie Cohen
Collection
Folio - no4185