Picasso, le Minotaure

1881-1973
Ce volume contient
Picasso, Le regard du minotaure (1881-1937)
Picasso, Si jamais je mourais (1938-1973)
«Je vais tenter de comprendre comment est né l’ogre Picasso. Ce Minotaure qui dévore ses proies, ses amours comme la peinture. Celui qui occupe tout le temps, partout, toute la place, toutes les places.»

Universellement adulé, Picasso éblouit de son génie tant les artistes qu’il côtoie que ses proches, ses amis ou les femmes de sa vie. Mais cette emprise irrésistible est tout aussi dévastatrice. Du tremblement de terre de 1884 où le petit Pablo assiste pétrifié à la naissance de sa sœur jusqu’à ses dernières années où il fait figure de demi-dieu, Sophie Chauveau dresse un portrait stupéfiant des deux visages de Picasso. Un monstre consacré qui s’enfonce résolument dans un labyrinthe dont il a façonné les parois, créant sans répit une oeuvre titanesque qui semble ne jamais devoir s’achever.
Genre littéraire
Biographies
Thèmes
Époque
XXe-XXIe siècle
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Détails
624 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782072795473
Date de parution
Collection
Folio - no6801

Dans les médias

« Dans un livre passionnant, d'une cruelle beauté, Sophie Chauveau dit tout ce qui a été tu. D’une main tendre et émerveillée, elle caresse les peintures de Picasso. Et avec férocité, elle plante ses griffes dans la chair de l'homme. » Benoît Rayski, Atlantico « Sophie Chauveau lève le voile sur sur l’homme Picasso, à travers les toiles, les dessins, les sculptures étudiés comme autant de pages d’un journal intime. » Diane Zorzi, Arts magazine « Se détachant de la doxa, Sophie Chauveau insiste sur la perversité du peintre : si le génie éclate dans l'œuvre, cela ne justifie pas que l'artiste exceptionnel qui s'est choisi le Minotaure comme avatar violeur ait pu être si cynique et cruel avec ses proches. À commencer par ses femmes et ses enfants. » Eric Bietry Rivierre, Le Figaro  « Sophie Chauveau met au défi, avec Picasso, son amour inconditionnel pour l’artiste et son féminisme en rupture avec les comportements de l’homme. » James Benoit, Le Journal des Arts

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