Les années insulaires

Paris, au début des années 1970. L’ancien ventre de Paris devient un immense chantier, le visage de la capitale change. Des hommes hostiles à cette défiguration s’insurgent et fondent une association, «Les Insulaires». Parmi eux, un peintre, Kerros, lui aussi attaché à la forme immémoriale de Paris. Mais il connaît bien celui que les protestataires appellent le «prince des modernes», Georges Pompidou.

Dans un dialogue fictif entre l’artiste et le président, Philippe Le Guillou revient sur les années pompidoliennes,
leurs contradictions et leurs mirages, leurs audaces architecturales et esthétiques.
Genre littéraire
Romans et récits
Époque
XXe-XXIe siècle
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Détails
352 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070197637
Date de parution
Collection
Folio - no6226

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Dans les médias

« On y découvre un Pompidou saisissant dans sa complexité. À la fois paysan madré et collectionneur avant-gardiste. Vulnérable et cassant. Léger et tragique. Bien loin de la société du spectacle. » Direct Matin . « Philippe Le Guillou restitue à merveille le parfum de cette ère utopique où on a pu rêver d'une "civilisation nouvelle", mélange étrange de moderne et d'ancien, "sur le mode du filigrane évolutif et caché". » Bernard Quiriny, Le Magazine littéraire . « Philippe Le Guillou ouvre le bal avec ce beau roman sur la reconfiguration seventies du vieux Paris. Un intéressant portrait de Pompidou et une analyse subtile de ces années charnières. Profond. » Ludovic Barbiéri, Chro nicart ..