La neuvième heure

The Ninth Hour
Jim referme la porte derrière sa femme Annie qu’il a envoyée faire des courses. Il enroule alors son pardessus dans le sens de la longueur et le pose au pied de cette même porte. À son retour, c’est un miracle si Annie ne fait pas sauter la maison entière en craquant une allumette dans l’appartement rempli de gaz. En ce début de XXe siècle, dans la communauté irlandaise de Brooklyn, le sens des convenances, la superstition et la honte s’allient pour effacer le suicide de Jim. Enceinte, sa jeune veuve est recueillie par une congrégation de sœurs soignantes. Annie puis sa fille Sally vont s’épanouir sous le regard bienveillant des nonnes. Chacune d’elles, avec son histoire et ses secrets, leur enseigne une vision de la foi où la générosité et le sacrifice ne sont pas de vains mots. Les échos de cette éducation singulière résonneront au fil des générations.
Genre littéraire
Romans et récits
Époque
XXe-XXIe siècle
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Prix littéraires
  • Prix Femina étranger (2018)
Détails
304 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782072874611
Date de parution
Traduit (anglais) par :
Cécile Arnaud
Collection
Folio - no6774

Coups de cœur libraires/lecteurs

Catherine Libraire

Un délicieux roman qui nous conte les aventures d'Annie;trop tôt devenue veuve,recueillie par des nonnes dans le quartier irlandais de Brooklyn.Des religieuses pour qui la foi,le pardon et le sacrifice ne sont pas de vains mots.Arriveront-elles à changer le destin d'Annie?

Dans les médias

« Le roman a beau suivre une bande de nonnes au début du XXe siècle, l’ensemble se dévore avec la fringale d’une série Netflix. Gloire à Alice McDermott qui a fait de nous ce qu’elle voulait. » Thomas Stélandre, Libération « Ce roman lumineux confirme la place qu’occupe Alice McDermott parmi les grands auteurs américains d’aujourd’hui. » Laurence Caracalla, Le Figaro littéraire « Cette écrivaine rare transforme le quotidien en or et donne aux grandes inquiétudes de l’âme une texture palpable. » Marguerite Baux, Elle «Alice McDermott est ici au sommet de sa virtuosité de style. » Josyane Savigneau, Lire « Le tableau est sombre, et pourtant, l'humour affleurant des nonnes, qui ne cessent de se jouer de l’hypocrisie de l'Église, irradie le roman d'une lumière éclatante. » Marianne Payot, L'Express