Journal du voleur

«Je nomme violence une audace au repos amoureuse des périls. On la distingue dans un regard, une démarche, un sourire, et c’est en vous qu’elle produit des remous. Elle vous démonte. Cette violence est un calme qui vous agite. On dit quelquefois : «Un gars qui a de la gueule.» Les traits délicats de Pilorge étaient d’une violence extrême. Leur délicatesse était violence.»
Genre littéraire
Mémoires et autobiographies
Époque
XXe siècle
Acheter
Détails
320 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070364930
Date de parution
Collection
Folio - no493

Feuilleter