Je voulais leur dire mon amour

«Cela faisait plus de cinquante ans que je n’étais pas revenu en Algérie où j’étais né, d’où nous étions partis sans rien. J’avais si souvent répété que je n’y retournerais jamais. Et puis une occasion s’est présentée : un festival de cinéma méditerranéen auquel j’étais invité comme juré à Annaba, une ville de l’Est algérien, ma région d’origine. J’ai pris l’avion, j’ai participé au festival, je m’y suis senti bien, j’ai eu l’impression d’une fraternité nouvelle avec eux tous. Mais au moment où, le festival fini, je m’apprêtais à prendre la route des Aurès pour revoir la ville de mon enfance, un événement est survenu, qui a tout arrêté, tout bouleversé. C’est le récit de ce retour cassé que je fais ici.»
Jean-Noël Pancrazi.
Genre littéraire
Mémoires et autobiographies
Époque
XXe-XXIe siècle
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Prix littéraires
  • Prix du Roman des Écrivains du Sud (2018)
  • Prix du Mémorial / Grand Prix littéraire d'Ajaccio (2018)
Détails
144 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782072833328
Date de parution
Collection
Folio - no6722

Feuilleter

Dans les médias

« Le message de ce livre splendide, c’est que le passé ne passe pas, et qu’il est pourtant impossible de le retrouver. Un grand livre. » Frédéric Beigbeder, Le Figaro Magazine « Ce livre est un poignant attentat intime. » Pierre Vavasseur, Le Parisien « Difficile de lâcher le livre. Les émotions nous arrivent avec lenteur, en puissance, elles nous emportent. Bouleversant. » Metin Arditi, La Croix « Une lente mélopée, entre complainte et poésie, qui restera ancrée des mois, des années dans la mémoire. » Alexandre Schwartzbrod, Libération « Un récit d'une puissance évocatrice rare empreint de bonté et de beauté. » Mohammed Aïssaoui, Le Figaro Littéraire « Une magnifique étreinte à ceux qu’il aime. Jean-Noël Pancrazi offre le livre où se rassemblent une vie et une œuvre. » Christine Rousseau, Le Monde des Livres « Un si beau livre. Depuis Paris, l'auteur a écrit une lettre d'amour à l'Algérie et emprunté la route du temps, aussi longue, sinueuse et soyeuse que sa phrase. » Jérôme Garcin, L’Obs « De longues phrases magnifiques, comme les souvenirs du bonheur. » Yves Viollier, La Vie