De bout en bout, l’histoire de Solange et Kouhouesso est âpre et prenante. Sébastien Lapaque, Le Figaro Littéraire . Darrieussecq revisite la confrontation des civilisations, de deux mondes, l’un prétendument civilisé et l’autre plongé au cœur des ténèbres, avec en arrière-plan les mœurs hollywoodiennes. Alain Mabanckou, Jeune Afrique. Il arrive à Marie Darrieussecq la même chose qu’à Marlow, le héros de Conrad : plus elle s’enfonce « au cœur des ténèbres » et plus elle y voir clair dans son aventure. Éric Chevillard, Le Monde des Livres . Marie Darrieussecq est frondeuse, provocante, excessive. Qu’elle embrasse le sexe ou la mort, l’enfance ou l’absence, la solitude et le silence. Avec ses phrases piquantes comme le feu, et cette énergie, cette radicalité proches du fantastique. Son plus beau roman, le plus brûlant, le plus poignant. Fabienne Pascaud, Télérama.