Ce qui reste de nos vies

Shéérit ha-khayim
«Même si je risque de découvrir qu’aimer et être aimé, c’est trop en demander, je me contenterai soit de l’un, soit de l’autre, mais chez nous ce n’est ni l’un ni l’autre, nous le savons tous les deux, alors à quoi bon insister.»

Hemda Horowitch vit ses derniers jours. Ses souvenirs s’imposent à sa conscience : un père trop exigeant, un mariage sans amour, cette difficulté à aimer équitablement
ses deux enfants, Avner et Dina. Ces derniers se rendent à son chevet à l’hôpital de Jérusalem et essaieront de sauver, chacun à leur manière, ce qui reste de leurs vies. Dans une langue puissante, Zeruya Shalev évoque la colère, le ressentiment et la peur qui construisent les familles autant que l’amour et le bonheur d’être ensemble.
Genre littéraire
Romans et récits
Pays
Époque
XXIe siècle
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Prix littéraires
  • Prix Femina étranger (2014)
Détails
544 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070792672
Date de parution
Traduit (hébreu) par :
Laurence Sendrowicz
Collection
Folio - no6158

Coups de cœur libraires/lecteurs

Librairie Passages Libraire

Magistral ! Parfaitement maîtrisé, ce récit ample et lancinant analyse au plus juste les relations d’une sœur et d’un frère, et de leur mère en fin de vie. On est happé par cette histoire de famille, face sombre et face lumineuse.

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Dans les médias

Zeruya Shalev a écrit, dans une écriture poétique et prégnante, un roman sombre et lumineux . Marie-Laure Delorme. Le Journal du Dimanche . L'auteur dissèque avec une extraordinaire force narrative les relations, complexes et uniques qu'une mère en fin de vie entretient avec ses enfants . C. S. Psychologie Magazine. Une variation musicale d'une grande beauté sur la quête de l'amour avec les joies éphémères et les déceptions infinies qu'elles engendrent . C. F. Lire . Une émotion à fleur de peau, un humour acide, un questionnement métaphysique tout en restant universel. La marque des très grands romans . B. L. L'Express . Une grande oeuvre . Raphaëlle Leyris. Le Monde des Livres .