Une fille comme les autres

The Girl Next Door
Une petite ville des États-Unis dans les années 1950. Un jour d’été, au bord du ruisseau où il pêche des écrevisses, le jeune David fait la connaissance de la jolie Meg, sa nouvelle voisine. Meg et sa sœur vivent depuis peu chez Ruth Chandler, leur tante et mère du meilleur copain de David. Petit à petit, intrigué et fasciné, le jeune garçon se rend compte qu’il se passe quelque chose d’anormal chez les Chandler, que les choses ne sont pas ce qu’elles paraissent être dans ce paisible quartier résidentiel. Trente ans plus tard, David se souvient…

«Vous serez effrayés de tourner ces pages, mais vous ne pourrez pas vous en empêcher.»
Stephen King.
Genre littéraire
Romans et récits
Genres Policier  > 
Époque
XXIe siècle
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Détails
384 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070453115
Date de parution
Introduction :
Stephen King
Traduit (anglais) par :
Benoît Domis
Collection

Coups de cœur libraires/lecteurs

Avertissement : A ne pas mettre entre toutes les mains !
Cette  histoire de maltraitance dans l'Amérique des années 50 est inspirée d'un fait divers bien réel.
Elle est vue à travers les yeux du narrateur, un adolescent, spectateur parfois complaisant d'événements qui le marqueront à tout jamais. Ainsi, le lecteur qui voit les choses à travers ses yeux se trouve lui-même dans une  position de voyeur parfois insoutenable, qui le renvoie à ses propres zones d'ombre.
En effet, nous assistons à la...

Brocard Libraire

Première traduction en France de Jack Ketchum, ce livre est un véritable coup de poing. Une banlieue ordinaire dans le milieu des années 50 va être la scène d'événements tragiques : la séquestration et la torture de Meg, une ado récemment installée en ville. À comparer avec "Misery" de Stephen King !

Furet du Nord Libraire

Un livre effrayant, lu et approuvé par Stephen King. Âmes sensibles s’abstenir…
Bruno

Dans les médias

« Ce roman est un long dérapage vers les gouffres les plus abjects et les plus terriblement ordinaires, d’une folie qui ne dira son nom que bien trop tard. Dans sa préface, Stephen King note à juste titre ce que cette narration lui évoque d’un traitement à la Jim Thompson ou Cormac McCarthy. Ce qui, excusez du peu, n’est pas faux.» Pierre Pelot , Le Républicain lorrain