Rupture

Rupture
Que s’est-il passé dans ce collège anglais par un après-midi caniculaire? Pourquoi le prof d’histoire, monsieur Szajkowski, a-t-il ouvert le feu sur ses élèves et ses collègues avant de retourner l’arme contre lui? Dépression nerveuse? Pétage de plombs? Schizophrénie?
L’inspecteur Lucia May se voit confier cette enquête sous l’œil de sa hiérarchie. Médias et politiques s’y intéressent de près… Pourtant, au fil des témoignages des adolescents, de leurs parents, des professeurs, quand Lucia pose les bonnes questions – forcément dérangeantes – se dessine une vérité complexe. Derrière la brutalité des faits rôde une violence insidieuse et meurtrière.
Genre littéraire
Romans et récits
Époque
XXIe siècle
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Détails
368 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070442607
Date de parution
Traduit (anglais) par :
Christophe Mercier
Collection

Coups de cœur libraires/lecteurs

Christophe Libraire

Noir collège
Londres, de nos jours, un triste fait divers : un collège où un prof d'histoire (Samuel Szajkowski) tue trois gamins et un enseignant, avant de se suicider avec la balle qui lui reste. Lucia May, inspectrice, est chargée de l'enquête. Les faits sont là (surprenants pour la logistique : "l'arme était une pièce de musée, pas un semi-automatique. Elle était en mauvais état. Qu'il ait fait cinq victimes, cinq victimes avec six balles était, en un certain sens, un petit miracle. Le pire...

Dans les médias

« Premier roman d’un surdoué qui s’appelle Simon Lelic, c’est un livre glaçant, implacable et impeccable qui vous laisse à l’esprit l’image indélébile de la cruauté humaine. » Bernard Poirette, C’est à lire, RTL  « Simon Lelic ose s'attaquer au système scolaire dans son ensemble. Un réalisme qui fait froid dans le dos. » Elle , septembre 2010  L’avis d'un libraire : « Le livre est parfaitement mené avec une histoire reconstituée par différents témoignages tous plus ahurissants les uns que les autres, une sorte de “ne rien voir, ne rien dire, ne rien faire" et vous terminez le livre avec un mal-être qui vous accompagne quelques temps encore. Une belle force d’évocation pour un très bon premier roman. »Christophe Dupuis, librairie Entre-deux-noirs (Langon)