Requins d'eau douce

Une enquête de l'inspecteur Lukastik
Nervöse Fische
Le cadavre d’un homme flotte dans une piscine sur le toit d’un immeuble viennois. Il lui manque une jambe, il a été déchiqueté par un requin… Pas de trace de requin, juste une prothèse auditive récupérée au fond de l’eau. Cela ressemble à une mauvaise plaisanterie, mais il en faut plus pour désarçonner l’inspecteur Lukastik. Fervent lecteur du philosophe Wittgenstein et féru de musique dodécaphonique, ce surprenant personnage, qui dîne chaque soir d’une soupe chez ses parents et n’écrase jamais ses cigarettes, se moque des convenances et met un point d’honneur à exaspérer ses supérieurs. Qui d’autre que lui pouvait enquêter sur une affaire aussi étrange?
Genre littéraire
Romans et récits
Époque
XXIe siècle
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Détails
432 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070444915
Date de parution
Traduit (allemand) par :
Corinna Gepner
Collection

Coups de cœur libraires/lecteurs

Clément Libraire

Un cadavre est découvert dans une piscine au 28ème étage d'une résidence viennoise : déchiqueté, une jambe arrachée, l'homme semble avoir été victime d'une attaque de requins. Mais pas de quoi bouleverser l'inspecteur principal Richard Lukastic : une explication logique devrait bientôt dissiper ce qui apparaît comme un mystère irrationnel.
Solitaire, négligent dans l'enquête, hautain avec les subalternes, énigmatique et cachottier avec ses supérieurs, mais attentif au détail révélateur...

Frédéric Libraire

Lukastik est inspecteur principal à la brigade criminelle de Vienne, Autriche. Solitaire et vieux garçon, il est méticuleux et perfectionniste. Il aime son travail mais il garde le sens de la famille. Il vit toujours chez ses parents et ne rate jamais un dîner en leur compagnie (une soupe et rien d'autre).
Lukastik aime Wittgenstein (1889-1951), et se promène toujours avec son oeuvre majeure : le Tractatus logico-philosophicus, qui comme son nom l'indique traite de… logique et  philosophie...

Dans les médias

« Un polar à l’humour décapant, subtilement construit, d’une érudition époustouflante. »Yann Plougastel, Le Monde Magazine« Ca ne se raconte pas, ça se lit, absolument, pour la fulgurance des idées de cet Autrichien nommé "le Thomas Bernhard du polar", pour la qualité littéraire et l’ironie jubilatoire des digressions. »Julie Malaure, Le Point