Des coccinelles dans des noyaux de cerise

À Fresnes où il fait un séjour pour vol avec ruse, François partage sa cellule avec Medhi, un cador du grand banditisme. Ce Medhi, c’est du méga lourd. D’ailleurs, il ignore superbement François qui, de son côté, joue les serviteurs zélés. Mais au fil des semaines, les intentions de François vont se révéler…
Genre littéraire
Romans et récits
Genres Policier  > 
Époque
XXIe siècle
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Prix littéraires
  • Prix Charles-Exbrayat (2017)
Détails
176 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782072761386
Date de parution
Collection

Coups de cœur libraires/lecteurs

Stéphanie Lecteur

Roman noir comme j’aime, avec ce qu’il faut d’humour (noir), de scènes de violence, de suspens, de narration sombre, cynique (totalement à l’image du narrateur) et particulièrement percutante et surtout un protagoniste trash, froid, sans empathie aucune mais malgré tout attachant, Des coccinelles dans des noyaux de cerise est l’histoire d’un coup (où il est question de feux rouges, de jolie femme, de petite cuillère, de plongée sous-marine…), mais avant tout l’histoire de François, le narrateur...

Dans les médias

« Des coccinelles dans des noyaux de cerise, est un pur roman, un sommet d'humour noir, le portrait d'un tueur digne du Silence des agneaux mais brossé façon Tontons flingueurs. » Bernard Lehut, RTL« La confession violente et radicale d'un laissé-pour-compte du petit banditisme qui, nourrissant en lui la plus redoutable des vengeances, se livre à une effrayante apuration des comptes avec le monde et la société. » François Angelier, Mauvais genres« Nan Aurousseau est de retour avec un roman, dont le titre aussi poétique qu’énigmatique cache une réalité beaucoup plus noire. Avec sa langue imagée et sa gouaille qui rime avec canaille, il nous emmène dans la tête d’un tueur. » Jean-François Cadet, RFI« On pense parfois à Hubert Selby, dans sa manière d'écrire ces gens marginalisés, dans leur façon de s'exprimer, de se comporter, d'aimer, de vivre en se tuant à petit feu. On vire carrément dans le Bukowski quand le vrai visage de François se dévoile au fil des pages, emportant le lecteur dans un tourbillon jubilatoire pour certains, insoutenable pour d'autres. Ce sera pourtant déjà trop tard pour reculer. C'est François qui le dit : "Quand on a fait dans son froc, c'est trop tard pour serrer les fesses". » Dimitri L'hours, Le Télégramme

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