Chiens de la nuit

Night Dogs
Hanson, vétéran des forces spéciales, est devenu flic à son retour du Vietnam. Les rues de North Precinct, un quartier déshérité de
Portland, ne sont pas moins dangereuses que la jungle asiatique. Drogue, violence et danger sont le quotidien des policiers en patrouille. Hanson, lui, n’a peur de rien – sauf de ses souvenirs.

«Jamais on n’a écrit un polar comme celui-ci. L’écriture est aussi puissante que le matériau, les personnages sont peints avec autant de brio que les plus beaux graffitis, les dialogues sont aussi percutants qu’une brique lancée dans une vitrine, et la prose aussi précise et aiguisée qu’un cutter qui tranche une gorge. Chiens de la nuit n’est pas seulement un très bon livre, c’est un livre capital.» James Crumley
Genre littéraire
Romans et récits
Genres Policier  > 
Époque
XXe-XXIe siècle
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Prix littéraires
  • Prix Calibre 38 du meilleur roman policier (1998)
Détails
640 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070454365
Date de parution
Préface :
James Crumley
Traduit (anglais) par :
Jean Esch
Collection

Coups de cœur libraires/lecteurs

Librairie Hall du Livre Libraire

Il fallait bien la violence et la noirceur des rues de Portland, dans l'Oregon, pour contenir le stress post-traumatique du héros... Le retour au pays n'est pas toujours synonyme de retour à l'humanité ! Une digne suite à Sympathy For The Devil. Inévitable !

David Libraire

ENFIN ! 
On attendait depuis longtemps la réédition de ce roman noir formidable, suite logique au grand Sympathy for the Devil, et intrigue semi-autobiographique fascinante à souhait.
Le sergent Hanson, fraîchement démobilisé des forces spéciales américaines au Viet-Nam, intègre la police des quartiers noirs de Portland, en Oregon.
Nous sommes en 1975, et comme le rappelle James Crumley (excusez du peu) dans sa préface, « le rêve américain a pris une sévère raclée, et, depuis, on dirait que tout...

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« Retenir l'attention sur cinq cents pages sans raconter une véritable histoire relève de la gageure. Pari réussi car Anderson est un écrivain. Un magicien. »   Dinah Brand, Lire