Comment j'ai cuisiné mon père, ma mère... et retrouvé l'amour

Breathers. A Zombie's Lament
«Il n’est jamais agréable de se réveiller sur le sol de la cuisine, baignant dans une mare de glace à la fraise fondue et entouré de plusieurs bouteilles de vin… vides, évidemment. Le trou noir dans mes souvenirs n’est pas, non plus, quelque chose de très réjouissant. Qu’ai-je bien pu faire pour en arriver là? Et pourquoi ai-je vidé le congélateur de son contenu? Le mieux est encore d’aller voir par moi-même…
Après vérification, c’est finalement assez logique : pour y ranger les corps de mes parents. Bien… Il va falloir que je me remémore deux ou trois choses, mais par où commencer? Peut-être par la façon dont je suis devenu un zombie?»

Avec ce roman drôle et provocant, S. G. Browne revisite de manière originale un des mythes modernes les plus forts en nous présentant le point de vue d’un zombie. Non sans y ajouter beaucoup d’humour et… un zeste d’amour. Rire et horreur assurés!
Genre littéraire
Romans et récits
Époque
XXIe siècle
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Détails
400 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070455256
Date de parution
Traduit (anglais) par :
Laura Derajinski
Collection
Folio SF - no495

Coups de cœur libraires/lecteurs

Emilie Lecteur

Ce roman débute par la découverte par Andy des corps de ses parents. Pour expliquer cette découverte, Andy se rappelle les quelques mois qui viennent de s'écouler : sa mort, son réveil en zombie, les brimades etc, etc. J'avais un peu peur de trouver cette partie où Andy raconte ses souvenirs un peu longue car force est de constater que son existence en tant que zombie est très monotone. Il est privé de tous ses droits et interdit de fréquenter les espaces publics.Il passe donc son temps à boire...

Dans les médias

« Entre Robert Rodriguez et Tim Burton, un roman déjanté à mourir de rire ! » – Madame Figaro « On est à cheval entre le polar, le roman noir et la série B, voire Z. Au cinéma ça pourrait être du Tarantino. C’est très drôle et très touchant, on oscille entre horreur et humour à chaque page. » – Le Parisien « Si un fou rire vaut un bon steak, ce bouquin hilarant, malin et bourré d'aphorismes tordants doit être remboursé par la Sécu... et aussi mis en vente dans toutes les bonnes boucheries. Une petite tuerie ! » – Midi libre